Réplique du film À la croisée des mondes La boussole d'or

Il y a une infinité d'univers et de monde parallèles les uns aux autres, des mondes comme le votre où l'âme des gens fait partie intégrante de leur corps et des mondes comme le mien où l'âme est une manifestation animale qui vit à nos côtés et que nous appelons notre démon. Tant de mondes différents qui sont tous reliés entre eux par la poussière. La poussière existait avant les sorcières des airs, les gitans des mers et les ours des glaces dans le monde qui est le mien. Les érudits inventèrent l'alédiomètre, une boussole d'or qui leur révélait tous ce qui leur était dissimulé. Mais le pouvoir en place craignant toute vérité hormis la sienne fit détruire ces instruments et même interdire formellement l'évocation de la poussière. Toutefois une boussole subsista... et une seule personne avait le pouvoir de la lire.

Personnage(s): À la croisée des mondes - La boussole d'or


Film: À la croisée des mondes La boussole d'or

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_ Et lui je lui ai donné la force de partir, et vous qu'est ce que j'vous donne ?
_ L'envie de rester.

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Le genre qui expédie le monde sur la lune...

Sept vies

Truth hurts. Maybe not as much as jumping on a bicycle with a seat missing, but it hurts.

Naked gun 2 1/2

Hééé steuplaaaaait.

Tout ce qui brille

On tente de se distraire, on fait la fête, on cherche l'amour, on croit le trouver, puis on retombe. De haut. On tente de jouer avec la vie pour se faire croire qu'on la maîtrise. On roule trop vite, on frôle l'accident, on prend trop de coke, on frôle l'overdose. Ça fait peur aux parents, des gènes de banquiers, de PDG, d'hommes d'affaires, qui dégénèrent à ce point là, c'est quand même incroyable. Il y en a qui essaient de faire quelque chose, d'autres qui déclarent forfait. Il y en a qui ne sont jamais là, qui ne disent jamais rien, mais qui signent le chèque à la fin du moi. Et on les déteste, parce qu'ils donnent tant et si peu. Tant pour qu'on puisse se foutre en l'air, et si peu de ce qui compte vraiment. Et on finit par ne plus savoir ce qui compte, justement. Les limites s'estompent. On est comme un électron libre. On a une carte de crédit à la place du cerveau, un aspirateur à la place du nez, et rien à la place du cœur, on va en boîte plus qu'on ne va en cours, on a plus de maisons qu'on a de vrais amis, et deux cents numéros dans notre répertoire qu'on n'appelle jamais. On est la jeunesse dorée. Et on n'a pas le droit de s'en plaindre, parce qu'il paraît qu'on a tout pour être heureux. Et on crève, dans nos appartements trop grands, des moulures à la place du ciel, repus, bourrés de coke et d'antidépresseurs, et le sourire aux lèvres.

Hell