Réplique du film Prison Break

Peut-être que les Beatles avaient raison après tout. Peut-être que tout ce dont on a besoin, c'est de l'amour.

Personnage(s):


Film: Prison Break

Noter cette réplique

0 étoile(s) - 0 vote(s).
Vous devez être connecté pour noter une citation
Poster sur Facebook Tweeter Pin
Erreur! Désolé, merci de réessayer..
Bravo! La réplique vient d'être postée sur votre mur.
Poster sur Facebook Tweeter Pin
Erreur! Désolé, merci de réessayer..
Bravo! La réplique vient d'être postée sur votre mur.


Voir une autre réplique Prison Break



Si je mange rien, c'est que j'ai pas faim. Si je m'assoie pas, c'est que je reste pas. Si je regarde pas, c'est que j'ai déjà vu ce film, y'a sept ans. Ça s'appelle The Mack, avec Max Julien, Carol Speed et Richard Pryor. Et j'ai aucune crainte, juste du dégoût.
Dans cette enveloppe, y'a de quoi payer tes frais, Alabama part pour d'autres aventures plus joyeuses; pas question de discuter, je déteste marchander. Dans cette enveloppe, y'a le prix de ma tranquillité; ma tranquillité elle vaut ça et pas un penny de plus.

True Romance

_ Au fond c'est un petit garçon qui ne cherche qu'à être apprécié de tous.
_ Il m'a frappé avec un écureuil mort.

Desperate housewives

William j'aimerais savoir : es-tu venu parce que tu voulais mon aide pour sauver une dangereuse demoiselle ? Ou plutôt une demoiselle en danger ? Comme tu veux.

Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde

On tente de se distraire, on fait la fête, on cherche l'amour, on croit le trouver, puis on retombe. De haut. On tente de jouer avec la vie pour se faire croire qu'on la maîtrise. On roule trop vite, on frôle l'accident, on prend trop de coke, on frôle l'overdose. Ça fait peur aux parents, des gènes de banquiers, de PDG, d'hommes d'affaires, qui dégénèrent à ce point là, c'est quand même incroyable. Il y en a qui essaient de faire quelque chose, d'autres qui déclarent forfait. Il y en a qui ne sont jamais là, qui ne disent jamais rien, mais qui signent le chèque à la fin du moi. Et on les déteste, parce qu'ils donnent tant et si peu. Tant pour qu'on puisse se foutre en l'air, et si peu de ce qui compte vraiment. Et on finit par ne plus savoir ce qui compte, justement. Les limites s'estompent. On est comme un électron libre. On a une carte de crédit à la place du cerveau, un aspirateur à la place du nez, et rien à la place du cœur, on va en boîte plus qu'on ne va en cours, on a plus de maisons qu'on a de vrais amis, et deux cents numéros dans notre répertoire qu'on n'appelle jamais. On est la jeunesse dorée. Et on n'a pas le droit de s'en plaindre, parce qu'il paraît qu'on a tout pour être heureux. Et on crève, dans nos appartements trop grands, des moulures à la place du ciel, repus, bourrés de coke et d'antidépresseurs, et le sourire aux lèvres.

Hell

Inconnu : Et voici Nathalie. Nouvelle comme vous !
Le premier ministre : Enchanté Nathalie.
Nathalie : Ravie David. Euh monsieur le ministre. Merde comment j'ai pu dire ça. Et en plus j'ai dit merde. Deux fois de suite. Oh monsieur toutes mes excuses.
Le premier ministre : C'est pas grave voyons. Vous auriez dit putain là nous aurions été dans la merde.
Nathalie : Ça c'est vrai ! J'avais le pressentiment que le premier jour j'allais merder comme une conne. Oh la la... Oh putain.

Love Actually