Et si je te le dis ! Personnage(s): Scar à Simba Film: Le roi lion
On tente de se distraire, on fait la fête, on cherche l'amour, on croit le trouver, puis on retombe. De haut. On tente de jouer avec la vie pour se faire croire qu'on la maîtrise. On roule trop vite, on frôle l'accident, on prend trop de coke, on frôle l'overdose. Ça fait peur aux parents, des gènes de banquiers, de PDG, d'hommes d'affaires, qui dégénèrent à ce point là , c'est quand même incroyable. Il y en a qui essaient de faire quelque chose, d'autres qui déclarent forfait. Il y en a qui ne sont jamais là , qui ne disent jamais rien, mais qui signent le chèque à la fin du moi. Et on les déteste, parce qu'ils donnent tant et si peu. Tant pour qu'on puisse se foutre en l'air, et si peu de ce qui compte vraiment. Et on finit par ne plus savoir ce qui compte, justement. Les limites s'estompent. On est comme un électron libre. On a une carte de crédit à la place du cerveau, un aspirateur à la place du nez, et rien à la place du cœur, on va en boîte plus qu'on ne va en cours, on a plus de maisons qu'on a de vrais amis, et deux cents numéros dans notre répertoire qu'on n'appelle jamais. On est la jeunesse dorée. Et on n'a pas le droit de s'en plaindre, parce qu'il paraît qu'on a tout pour être heureux. Et on crève, dans nos appartements trop grands, des moulures à la place du ciel, repus, bourrés de coke et d'antidépresseurs, et le sourire aux lèvres. Hell
On tente de se distraire, on fait la fête, on cherche l'amour, on croit le trouver, puis on retombe. De haut. On tente de jouer avec la vie pour se faire croire qu'on la maîtrise. On roule trop vite, on frôle l'accident, on prend trop de coke, on frôle l'overdose. Ça fait peur aux parents, des gènes de banquiers, de PDG, d'hommes d'affaires, qui dégénèrent à ce point là , c'est quand même incroyable. Il y en a qui essaient de faire quelque chose, d'autres qui déclarent forfait. Il y en a qui ne sont jamais là , qui ne disent jamais rien, mais qui signent le chèque à la fin du moi. Et on les déteste, parce qu'ils donnent tant et si peu. Tant pour qu'on puisse se foutre en l'air, et si peu de ce qui compte vraiment. Et on finit par ne plus savoir ce qui compte, justement. Les limites s'estompent. On est comme un électron libre. On a une carte de crédit à la place du cerveau, un aspirateur à la place du nez, et rien à la place du cœur, on va en boîte plus qu'on ne va en cours, on a plus de maisons qu'on a de vrais amis, et deux cents numéros dans notre répertoire qu'on n'appelle jamais. On est la jeunesse dorée. Et on n'a pas le droit de s'en plaindre, parce qu'il paraît qu'on a tout pour être heureux. Et on crève, dans nos appartements trop grands, des moulures à la place du ciel, repus, bourrés de coke et d'antidépresseurs, et le sourire aux lèvres.
_ Bouge pas ! _ Ça me fera pas rester, tu sais. _ Sur les photos si, éternellement ! Le premier jour du reste de ta vie
_ Bouge pas ! _ Ça me fera pas rester, tu sais. _ Sur les photos si, éternellement !
After the Cold War, the AK-47 became Russia's biggest export. After that came vodka, caviar, and suicidal novelists. Lord of war
After the Cold War, the AK-47 became Russia's biggest export. After that came vodka, caviar, and suicidal novelists.
_ La révolution est comme une bicyclette : quand elle n'avance plus, elle tombe. _ Eddy Merckx ! _ Non, Che Guevara. Les aventures de Rabbi Jacob
_ La révolution est comme une bicyclette : quand elle n'avance plus, elle tombe. _ Eddy Merckx ! _ Non, Che Guevara.
Circule, avant que je te bouscule ! Mulan
Circule, avant que je te bouscule !